Si le Mouvement des entreprises de France juge que les «Européens ont évité le pire» en accordant un nouveau délai aux Britanniques, il n'en redoute pas moins «un Brexit sans fin qui se prolongerait dans une zone grise» voire «un Brexit sans accord au 1er juin ou au 1er novembre». Le Medef appelle donc «solennellement les autorités britanniques à prendre maintenant toutes leurs responsabilités» en considérant qu'«il n’existe qu’une solution : l’accord de retrait tel que négocié par Michel Barnier et Theresa May».