La situation exceptionnelle que créée l’épidémie justifie, selon l’Unsa, de supprimer les franchises sur les tests et le futur vaccin.
La requête de l’Union nationale des syndicats autonomes vient du constat que «Si les tests de dépistage sont pris en charge à 100 % par celle-ci, l’assuré doit toujours sortir de sa poche 2 euros. Et s’il a consulté son médecin généraliste avant, 1 euro viendra s’ajouter à cette somme, et ainsi de suite». Le syndicat milite pour la suppression des franchises depuis leur instauration vu qu’elles créent une «double peine pour les assurés sociaux les plus souvent malades» et constituent «un frein à l’accès aux soins ».