Consécutifs à la crise de Mai 68, les accords de Grenelle aboutissent au renforcement du droit syndical et à la relance de la négociation entre partenaires sociaux. C’est aussi l’occasion d’un tour de table plus étoffé qu’en 1936, incluant les organisations patronales (CGPME) et de salariés (CFE-CGC, FO, CFDT) créées au sortir de la Guerre. Le texte, présenté ici dans sa version originale intégrale, n’a toutefois pas été signé.