La Fédération des entreprises de crèches prend acte de la décision de fermeture générale des établissements mais réclame un ajustement des aides. Pour la FFEC,qui s’engage à ce «que chaque enfant dont le parent doit être soutenu à compter de ce lundi 5 avril puisse bénéficier du service minimum d’accueil, dans son établissement habituel ou dans un établissement à proximité», il importe en premier lieu que «les professionnels de la petite Enfance (soient-NDLR) vaccinés sans délais comme les personnels de l’Éducation nationale». Sur le plan économique et social, elle préconise «la réactivation sans délai de l’activité partielle à 100% et la possibilité de (…) suspension des loyers», «le rétablissement des aides de la CAF pour les établissements fermés», un «soutien supplémentaire spécifique pour les établissements qui seront partiellement ouverts».