Le syndicat professionnel des services à la personne se félicite que le Gouvernement ait considéré les professionnels du secteur comme prioritaires pour faire garder leurs enfants. La Fedesap avait eu l'occasion de plaider auprès des «différents ministères concernés l’impérieuse nécessité de maintenir l’activité des entreprises de garde d’enfants à domicile pour ne pas contraindre un parent à faire le choix d’un télétravail forcé», mais aussi que leurs salariés soient «prioritaires pour faire garder leur(s) enfant(s) et qu’une solution d’accueil puisse leur être proposée». Notant, en outre, que «des employeurs de plus en plus nombreux sollicitent les structures de garde d’enfants à domicile pour accompagner leurs salariés dans la gestion de leur quotidien», la fédération souhaite en outre «débattre avec le Gouvernement pour “capitaliser” et anticiper» les solutions telles que «l’élévation temporaire du crédit d’impôt “services à la personne” de 50 à 80% sur le mois d’avril» ou encore le «chèque nounou» comme cela se fait en région Paca.