Dans la perspective de la présidentielle, le syndicat des entreprises du plastique rappelle qu'il conteste le bien-fondé de la loi AGEC et que «la politique française anti-plastique» actuelle fait courir le risque «de délocaliser une partie de la production d’emballages (…)» et «de rendre dépendantes les entreprises françaises de la plasturgie (…) des MPR étrangers». Plastalliance «appelle les industriels de la plasturgie française à résister aux pressions gouvernementales et à celles de ses agences (on pense notamment à l’ADEME…)», au nom de «la souveraineté de l’industrie française».