C’est par lettre ouverte que le mouvement des exploitants familiaux interpelle les candidats à la présidentielle. Il met l’accent sur un ensemble de revendications: «inefficacité des mesures mises en place par la loi EGALIM 1 et la loi EGALIM 2» qui exige de «de garantir la rémunération des paysans par des prix garantis par l’État, d’encadrer les marges et les pratiques de la grande distribution et maîtriser les productions agricoles sur le marché intérieur»; carence des «outils d’accompagnement à la transmission»; «projet de loi réformant l’assurance-récolte».