Pour le syndicat de médecins libéraux et pour une médecine libre, «Il n’y a rien dans les programmes des candidats en position de figurer au second tour de l’élection présidentielle». Au contraire, les contraintes s’accumulent, conjoncturelles (retard des tarifs séjours cliniques), et structurelles (actes médicaux dilués, systèmes commerciaux concurrents de consultation, conventionnement sélectif, priorité à l’hôpital public)… Ce pourquoi l’UFML «appelle à faire silence, à faire silence le 11 avril par la fermeture de nos cabinets».