Le syndicat des masseurs-kinésithérapeutes prend position dans le débat national pour les scrutins présidentiel et législatifs. Il milite, côté métier, pour «une vie conventionnelle ambitieuse» ainsi que pour une plus grande reconnaissance du métier («accès direct», rôle de prévention, «droit de prescription», «formation»). Sur le plan économique et social, il demande «l’égalité des droits sociaux entre les professionnels de santé libéraux», «la valorisation du kiné salarié» et une «réforme des retraites par et pour les professionnels».