La Confédération générale du travail prend position à propos du scrutin des législatives en même temps qu'elle appelle les salariés à poursuivre les mobilisations. Bien qu'elle «revendique son indépendance vis-à-vis des partis politiques et des employeurs», la confédération syndicale ne se veut pas «neutre» et estime que «pas une voix ne doit aller à l’extrême droite, quel que soit son nom», mais aussi que «un bloc de députés progressistes, le plus important possible, à l’Assemblée nationale, doit permettre de traduire les conquêtes des salariés dans la loi».