Care France, Act!onaid France et la CGT publient une «contre étude» sur le harcèlement sexuel au travail en réponse à celle que vient publier le Gouvernement. Ces institutions estiment au terme de ce travail que «contrairement à ce qu’affirme le ministère du Travail, le droit français actuel n’est pas assez efficace pour prévenir et lutter contre les violences sexistes et sexuelles au travail». Elles considèrent que «la prochaine ratification de la convention 190 de l’OIT est donc l’occasion d’améliorer la loi française en renforçant l’effectivité des mesures existantes et en créant de nouveaux dispositifs». La CGT souhaite que le Gouvernement organise «une véritable concertation avec les acteurs sociaux sur les évolutions législatives et réglementaires à mettre en place».