Jugeant que l'article 44 de la loi EGalim «n'est toujours pas appliqué», la Coordination rurale a redemandé au ministre de l’Agriculture «la mise en place d’un comité d’étude qui évaluerait de façon exhaustive la dangerosité et la conformité des denrées importées». Alexandre Armel, secrétaire général de la Coordination rurale, précise qu'«il n’est pas question de simplement faire respecter des seuils de résidus, qui sont d’ailleurs fixés de façon très contestable, il s’agit d’interdire purement et simplement une denrée si elle a été produite à l’aide d’un pesticide interdit dans l’UE».