Le syndicat des médecins libéraux souhaite que la mission Pelloux sur la radicalisation au sein des établissements de santé soit complétée par une mission spécifique au secteur libéral.
Le SML rappelle en effet que «les récentes affaires des listes de soignants communautaires, de stickers militants apposés sur les cartes vitales (…), les agressions perpétrées contre des médecins de confession israélites, ajoutées aux difficultés croissantes rencontrées (…) dans certains quartiers dits “difficiles”» doivent inciter à «prendre à bras le corps ce problème lancinant qui s’est aussi invité dans les soins de ville». D’où sa préconisation d’une «mission parallèle animée par un libéral, pour diagnostiquer la situation, proposer des mesures de prévention et d’accompagnement».