L’institutions ordinale des infirmiers rappelle le Gouvernement à la nécessité de favoriser la pratique infirmière avancée en service d’urgences.
L’ONI réitère son exigence suite à la présentation par le HCPP (24 juin 2021) du «projet de texte (de loi-BDLR) présenté par le Gouvernement, destiné à encadrer la pratique de l’IPA aux urgences», dont il considère qu’il «limite l’autonomie de l’infirmier en pratique avancée». Et de rappeler que «les IPA sont des infirmiers expérimentés et formés qui, exerçant à l’hôpital, peuvent éventuellement avoir recours, à tout instant, à un médecin si nécessaire».
Pour le président de l’Ordre, Patrick Chamboredon, il convient aussi d’avoir à l’esprit que «Les services d'urgence sont de plus en plus sollicités, et les motifs de recours (…) de plus en plus variés : il convient d'adapter l'organisation de ces services en conséquence». Les «IPA» sont une «solution pragmatique»