Le Conseil national des professions de l'automobile rectifie les «communications erronées (…) diffusées sur une soi-disant flambée historique des prix» du contrôle technique. Elle indique que la hausse incriminée ne correspond pas plus en moyenne qu'à «un montant de 8 euros pour une prestation valable deux ans, soit 4 euros par an», et rappelle que «les centres de contrôle technique, qui sont très majoritairement des artisans, ont dû faire face à de nombreux investissements (en matériels, en ressources humaines, en formation etc.) pour se conformer à la réforme du 20 mai dernier». En outre, les différences de facturation existant d'une région l'autre s'expliquent selon elle par le différentiel de niveau de charges des entreprises.