Fédérées autour du Conseil national des barreaux, près d'une vingtaine d'institutions professionnelles et associations œuvrant dans les secteurs de l'éducation, de la santé, de la justice, entendent faire valoir leurs propositions auprès du Gouvernement en ce qui concerne la réforme de la justice des mineurs (telle qu'établie par l'ordonnance de 1945 – NDLR).
Convaincus qu'une approche éducative est plus «efficace à long terme» qu'une approche répressive et que «La cohérence entre tous les acteurs et le temps nécessaire pour l’éducation sont les clés de voûte de la réussite», les signataires plaident notamment pour «la construction d’un code de la justice des enfants incluant à la fois les volets pénal et civil ainsi qu’une augmentation conséquente des moyens dédiés à la justice des enfants et des adolescents».