Pour la Confédération française et démocratique du travail, le nouveau dispositif de sanctions prévues pour les demandeurs d’emplois, en application de la loi du 5 septembre 2018 «Liberté de choisir son avenir professionnel» est «injuste et intervient dans un contexte de suspicion vis-à-vis des demandeurs d’emploi». Pour la confédération syndicale, la lutte contre le chômage doit d’abord passer par des propositions d’offres d’emploi de qualité», incombant aux entreprises. Une position qu’elle réaffirmera à l’occasion de la reprise des négociations du 9 janvier 2019.