La CGT «exige la revalorisation des emplois féminisés» à travers une pétition. La confédération prend notamment l'exemple des infirmières «applaudies aux fenêtres pendant la crise» en même temps que «symbole de la dévalorisation des métiers à prédominance féminine».
Elle insiste sur trois axes:
- l'exemplarité de l'État tant employeur que «financeur des secteurs sanitaires, sociaux, éducatifs et de la dépendance »;
- la «renégociation immédiate des classifications des métiers à prédominance féminine» dans le secteur privé;
- la ratification de la Convention n° 189 de l’OIT sur «le travail décent pour les travailleuses et travailleurs domestiques».