La Fédération des entreprises de propreté et services associés (FEP) anticipe «une casse sociale inédite (…) dans les entreprises de propreté spécialisées en hôtellerie ou ayant une part importante d’activité dans les hôtels».
Rappelant que «près de 90% des entreprises de propreté n'ont eu d'autre choix que d'opter pour le chômage partiel», la FEP déplore que «la propreté ne figure pas dans la liste du futur décret (…) des secteurs connexes bénéficiant (…) du maintien à taux plein» accordé au secteur de l'hôtellerie. Elle demande au gouvernement de «prendre toutes mesures réglementaires nécessaires» en soulignant que «ce sont près de 10000 emplois qui sont menacés».