Le SNMKR estime que l’arrêté du 10 septembre 2020 concernant les protocoles de coopération des soins non programmés ne favorise pas la coopération entre acteurs de la santé.
Pour le Syndicat national des masseurs-kinésithérapeutes-rééducateurs, le «texte ne fait que confirmer notre sentiment de la primauté d’un effet d’annonce sur une réelle volonté de faire évoluer le système de santé». Le syndicat incrimine une certaine «lourdeur administrative» et «la restriction imposée concernant le public ciblé», signes d'une «totale méconnaissance de nos tutelles sur le fonctionnement de nos cabinets libéraux». D'où sa requête «que des ajustements soient proposés rapidement afin de garantir une réelle possibilité de mise en place de ces protocoles».