Force ouvrière se félicite de la proposition de la Commission européenne de hausser le salaire minimum.
Le syndicat prend acte d’une «directive présentée par la Commission européenne le 28 octobre 2020», laquelle répond en partie aux attentes de la Confédération européenne des syndicats, notamment en ce qu’elle «préserve les interlocuteurs sociaux et la négociation collective au cœur de la question salariale au-delà même du salaire minimum – tout en respectant les spécificités des modèles de chacun», conformément aux conventions fondamentales de l’Organisation internationale du travail (OIT). FO n’en sera pas moins «attentive sur les évolutions et l’effectivité de la clause de non-régression sociale» et sur «tout risque de convergence par le bas des salaires en Europe».