Le Syngof marque son opposition à l’extension de l’expérimentation sur les maisons de naissance.
Réagissant au fait que le «Parlement décide de poursuivre l’expérimentation et d’en doubler le nombre», le Syndicat des gynécologues-obstétriciens de France rappelle en effet qu’à ce jour «aucune étude de coût sérieuse ni aucune étude de satisfaction comparative avec les accouchements à bas risques dans nos maternités» n’est connue. Constat fait des difficultés de recrutement de sages-femmes dans les maternités, de la rupture instaurée dans l’égalité d’accès aux soins, l’organisation professionnelle marque son opposition au projet et surtout, demande «la reprise sans délai de la réforme des autorisations des maternités en vue de leur amélioration».