Les organisations syndicales de salariés réitèrent leurs exigences en faveur de l'égalité professionnelle à l'occasion de la journée de la femme. Ainsi, Force ouvrière estime que «un bilan de l’index égalité doit être fait sans concession» et demande «des indicateurs plus larges sur la proportion de femmes parmi les bas niveaux de classification et les 10% de salaire les moins élevés», mais aussi «une augmentation du nombre de places en accueil de jeunes enfants avec des financements supplémentaires», ainsi qu'une «ratification rapide et dépassant le droit constant de la Convention 190 de l’OIT et la mise en oeuvre de sa recommandation “concernant l’élimination de la violence et du harcèlement dans le monde du travail”».
Pour sa part, la CGT Fonction publique annonce qu'elle ne siègera pas au Conseil commun de la fonction publique, dont la séance est programmée le 8 mars, «malgré notre demande de reporter cette instance à une échéance très proche, afin de permettre à toutes nos forces militantes d’être dans l’action ce 8 mars».