Pour le syndicat professionnel médical UFML, la réforme du concours de médecine doit être ré-envisagée, car elle aboutit à une sélection plus drastique et à plus d'inégalité. L'UFML ironise, à cet égard, sur la communication médiatisée sur la «fin du numerus clausus». Surtout, il dénonce la mise en place «d'un système dangereux qui pourrait engendrer des drames chez les étudiants», contraints du fait de l'interdiction du redoublement, à «une augmentation de la masse des connaissances jusqu’à l’absurde». Par conséquent, l'Union plaide pour «une révision totale des modalités du concours (…) ainsi que l’ouverture immédiate de postes».