La profession viticole estime que «ce gel aura des conséquences lourdes qu'il faudra savoir accompagner dans le temps». Elle apprécie donc l'effort de l'État d'un milliard d'euros en même temps que son séquençage sur le court, moyen et long termes. Sont en effet prévus successivement: l'accompagnement des unités en difficulté, l'investissement dans des outils de prévention et la mise au point de «solutions assurancielles plus pérennes». Pour les institutions professionnelles du secteur, «cet épisode doit permettre d’ouvrir enfin le dossier de la prévention et de la gestion des aléas climatiques en offrant à notre filière de vraies solutions pour l’avenir».