La fédération Interco de la CFDT souhaite que le CSFPT ait un rôle plus actif en matière d’organisation et conditions de travail. Le syndicat évoque notamment l’absence d’intervention sur «le Ségur de la santé et son élargissement (…), l’épisode du projet de loi 4D où le choix restrictif des articles à examiner a empêché le CSFPT de faire son travail (…) et l'examen uniquement par le conseil national d'évaluation des normes (CNEN) (…) du projet de décret de simplification de la réglementation des services aux familles».
Pour la CFDT Interco, ce renforcement doit opérer sous le nouveau mandat de «Philippe Laurent à la présidence du CSFPT», dont elle soutient la réélection «pour saluer son engagement en faveur du dialogue social, son respect des organisations syndicales et son action pour la prise de conscience par les exécutifs locaux de leurs obligations et responsabilités comme employeurs».