La Fédération syndicale unitaire se félicite «que le danger immédiat d’une accession au pouvoir de l’extrême droite à l’occasion de l’élection présidentielle, soit écarté». Pour autant, la progression forte de son influence doit être imputée au «bilan d’Emmanuel Macron, des politiques inégalitaires, liberticides et répressives qu’il a mises en œuvre durant cinq ans» et sa réélection est loin de traduire «l’adhésion à un programme».
Le syndicat de l’éducation et de la fonction publique «entend donc poursuivre et amplifier les mobilisations pour imposer dès maintenant d’autres politiques économiques, sociales et environnementales» et ce dès le Premier mai.