Les entreprises du voyage demandent aux pouvoirs publics de ne pas étendre les «zones rouges et oranges déconseillées “formellement” ou “sauf raison impérative”». L'institution professionnelle regroupant des entreprises du voyage estime en effet que cette extension (en lien avec les événements tragiques du Bénin – NDLR) «ferait perdre leur pertinence aux mises en garde du ministère des Affaires étrangères» dont elle salue la grande qualité. Elle rappelle par ailleurs que les voyageurs doivent prioriser le «conseil auprès d'un professionnel immatriculé» avant de se risquer à voyager et qu'en outre les professionnels ont «un niveau de responsabilité très élevé (“de plein droit”) en cas de dommage subi au cours du voyage.