Interféderal (CFTC-Santé; CGT Santé; FNAS-FO; Sud Santé)
«Pour le secteur Sanitaire et de l’Action Sociale, à mission de service public, c’est plus de 1 milliard de crédits en moins. De plus, le ministère a choisi sa méthode : le chantage. Et veut imposer la négociation d’une CCUE par blocs et de bas niveau comme préalable à d’hypothétiques augmentations salariales.»
> Communiqué (28 février)
FNSAC-CGT
«Après les grandes déclarations de Rachida Dati lors de son arrivée au ministère de la Culture, nous n’avons plus de doutes sur sa feuille de route : celle d’être mandataire liquidatrice du secteur aux ordres de Bercy. Ce qui pourrait expliquer au passage qu'elle refuse de recevoir la CGT spectacle et ses syndicats, malgré nos demandes.»
> Communiqué (28 février)
«Alors que la conférence salariale, réunion où doivent être annoncées quelles seront les éventuelles augmentations des valeurs de points conventionnelles pour 2024, décidées pour le secteur sanitaire, social, médico-social et de l’aide à domicile, se tient le 28 février 2024, le Président et le gouvernement veulent imposer une cure supplémentaire d’austérité. Ce ne sera pas moins de 10 milliards pour tous. Et plus particulièrement pour l’ensemble du secteur sanitaire et de l’action sociale, à mission de service public, plus de 1 milliard de crédits en moins.»
> Communiqué (27 février)
«Alors Solidaires dénonce à nouveau les décisions et orientations gouvernementales qui vont à l’encontre des besoins et des attentes légitimes de l'ensemble de la population. Les réponses ne sont pas dans les réductions drastiques de crédit mais bien dans le partage des richesses: augmenter nos salaires pour créer de la richesse, lutter contre les fraudes et l’évasion fiscale, taxer les plus riches !»
> Communiqué (26 février)
«La CFDT a toujours eu le souci de la dépense publique, des déficits budgétaires, de la dette, et de leurs conséquences sur les générations futures. Mais pour la CFDT, les niveaux d’impacts attendus sur les politiques publiques les plus touchées sont d’une gravité telle qu’ils compromettent l’avenir et les transformations indispensables (…) La CFDT appelle le Gouvernement(…) à financer à la hauteur des besoins les politiques prioritaires d’un véritable projet d’avenir pour la France, et à les financer par une politique fiscale socialement juste et progressive..»
> Communiqué (23 février)
«Plutôt que réduire les aides publiques massives et non conditionnées versées aux entreprises, plutôt que d’imposer les plus riches, le gouvernement continue de faire payer les ménages, les salarié.e.s, les retraité.e.s, les jeunes et privé.e.s d’emploi. Il faut enfin souligner que ce train de mesures austéritaires passe par décret, contournant ainsi une nouvelle fois le contrôle démocratique du Parlement.»
> Communiqué (22 février)
«Cette saignée confirme les orientations antisociales et climaticides de ce gouvernement. Il a choisi depuis 2017 de priver l’État de financements par des cadeaux aux plus grandes entreprises et aux privilégiés. Aujourd’hui il présente la facture au peuple: toujours moins d’école, toujours moins de services publics, moins de santé, moins de politiques sociales.»
> Communiqué (22 février)
«Le coup de rabot budgétaire de 10 milliards € décidé par le gouvernement se fait sur le dos des politiques publiques, parce que le gouvernement refuse de penser la fiscalité dont nous avons besoin pour des services de qualité à la population. En matière d’enseignement supérieur et de recherche, c’est un coup de frein à main sur l’investissement dans l’avenir qui pourtant semblait une priorité présidentielle.»
> Communiqué (22 février)
«En matière de politiques éducatives et de jeunesse, ce coup de rabot ne construit pas l’avenir ; c’est un nouveau coup de volant loin de la constance nécessaire pour consolider le service public d’éducation (…) Le gouvernement veut afficher le sérieux budgétaire, mais il n’a pas le courage d’expliquer à la population les conséquences de ces décisions, ni de renoncer à des mesures dispendieuses dont l’intérêt est contestable comme le SNU et l’uniforme.»
> Communiqué (22 février)
«Le ministère de l’Éducation nationale est à ce titre particulièrement maltraité car il doit rendre 692 millions d’euros ! (…) Avec cette suppression de près de 11000 postes, l’application du fameux « choc des savoirs » (groupes de niveau, redoublements, prépa seconde….) parait impossible.»
> Communiqué (22 février)
«Des milliers de postes sont menacés, alors que les personnels se mobilisent déjà depuis des semaines, au côté des parents d’élèves et des élus locaux contre les milliers de classes qui ferment, contre les mesures du choc des savoirs (…), contre l’austérité salariale et le gel du point d’indice, contre la politique de l’inclusion systématique et forcée et l’acte 2 de l’école inclusive.»
> Communiqué (22 février)
«Cette annonce, dans le sillage du discours de politique générale du nouveau premier ministre s’inscrit dans la logique de remise en cause du modèle social français (…) FO revendique une conditionnalité des aides publiques versées aux entreprises. Ces dernières subventionnent les employeurs payant les plus bas salaires.»