Collectif (FNAR; FSICPA, Profedim; SMA; SNSP; Synavi; Syndeac; CFDT-3C; CFDT-SNAC; SNAPAC-CFDT; SNAM-CGT; SFA CGT; SNMS-CGT; SUD Culture)
«Le Gouvernement porte une attaque sans précédent à l’encontre des services publics au détriment de l’intérêt général. Car ce sont bien eux qui sont les victimes des arbitrages rendus, loin du Parlement pourtant chargé de voter les lois de finances ou leurs corollaires rectificatifs (…) alors que nous étions en train de travailler à notre négociation annuelle obligatoire des salaires de la branche du spectacle vivant public, cette négociation est momentanément interrompue.»
> Communiqué (13 mars)
AdS
«Le plan d’économie de l’état annoncé le 21 février dernier rabote le budget de la recherche et de l’enseignement supérieur (…) C’est là un signal inquiétant pour le développement de l’enseignement et de la recherche en France (…) L’Académie des sciences souhaite que ces mesures puissent être revues dans les meilleurs délais afin de redynamiser la recherche et l’enseignement dans notre pays.»
> Communiqué (5 mars 2024)
«Nous sommes face à un vaste plan social dont les salarié.es des compagnies et des lieux indépendants seront les premières victimes (…)Nous demandons un CNPS d'urgence et une reprise du dialogue dans la durée.»
> Communiqué (29 février)
«Le gouvernement a annoncé une série de coupes budgétaires qui touche notamment les secteurs de la solidarité, de la santé, du logement, de la protection judiciaire de la jeunesse et la protection juridique des majeurs. Nexem dénonce l’impact de ces économies sur le secteur de la solidarité, déjà en proie à une crise profonde.»
> Communiqué (26 février)
«Sur le volet Culture, les annonces sont en contradiction avec les engagements la ministre Rachida Dati et elles vont amplifier les conséquences d’une crise déjà bien installée : érosion budgétaire des finances locales, disponible artistique au plus bas dans les établissements, équipes artistiques en proie
à une diffusion atone et ne pouvant plus faire face à la crise sociale désormais installée. Cette décision unilatérale semble ignorer la nécessaire anticipation de gestion de l’activité des entreprises.»
> Communiqué (26 février)
«La prétendue hausse du budget de la culture à 7%, n’a jamais concerné le spectacle vivant. A cet état de fait, vient s’ajouter la pire des nouvelles, celle
d’une coupe budgétaire de près de 100 millions d’euros, appliquée au programme 131, celui qui concerne la création artistique (…) Le Syndeac interpelle enfin le Premier ministre en lui demandant de revenir sur des arbitrages tragiques dont les conséquences directes sur l’emploi seront visibles à court terme.»