«Alors que les négociations conventionnelles (…) n'ont pas abouti, que la situation à l'hôpital public ne connaît par ailleurs aucune embellie, et que les cliniques ont appelé à une grève générale suite à l'annonce des tarifs du secteur privé, avec le soutien d'un certain nombre de syndicat de médecins libéraux, il est étonnant de voir le Premier Ministre sortir des propositions de nature à déstabiliser complètement le dialogue social et ce qu'il reste de confiance et de qualité dans le système de santé.»
> Communiqué (8 avril)
«A deux séances de la fin des négociations conventionnelles, le Gouvernement a fait le choix de les saboter (…) La CSMF en appelle au chef de l’Etat et à son sens de la responsabilité pour donner à la médecine libérale les moyens d’aboutir au choc d’attractivité attendu par les français.»
> Communiqué (7 avril)
«L’UFML-S est extrêmement surprise des annonces du premier ministre sur la médecine, alors même que la concertation qui préside à celles-ci a été totalement absente (…) L’UFML-S demande à ce que de vrais moyens soient donnés à la médecine libérale pour pouvoir mettre en place un choc d’attractivité de la médecine libérale, seul à même d’offrir aux Français la médecine qu’ils sont en droit d’obtenir. Nous demandons la reconnaissance du rôle de l’hospitalisation privée et un financement à la hauteur de ce rôle.»