«La FNSEA appelle les députés à voter pour cette loi, certes imparfaite, mais nécessaire pour relever le défi de la souveraineté alimentaire, du renouvellement des générations en agriculture et d’une production agricole toujours plus durable dans le contexte de changement climatique (…) la FNSEA reste vigilante et mobilisée sur les autres textes annoncés par le Gouvernement : projets de lois de finances et de financement de la Sécurité sociale, projet de loi sur les produits phytosanitaires, projet de loi EGALIM 4, projet de loi simplification, proposition de loi relative aux baux agrivoltaïques et au partage de la valeur.»
> Communiqué (27 mai)
«Ce texte apporte les premières pierres d’une réponse attendue par le monde agricole sur la simplification, en réponse aux mouvements de ce début d’année, mais nous rappelons que pour Jeunes Agriculteurs ce texte n’a pas pour objectif principal de répondre aux revendications des mobilisations, mais bien de proposer une réforme ambitieuse des politiques d’orientation, de formation, d’installation et de transmission.»
> Communiqué (27 mai)
«La Confédération paysanne dénonce la suppression des objectifs chiffrés sur le développement des surfaces cultivées enagriculture biologique et des cultures de légumineuses (…) cette disposition, qui n'a fait l'objet d'aucun débat, a été assumée parle ministre de l'Agriculture. C'est un nouveau signal d'abandon de la bio et plus largement des dispositifs en faveur de latransition agro-environnementale. Il s'ajoute aux retards de paiement dont sont victimes actuellement les paysan·nesengagé·es dans la transition (MAEC, aides bio...). »
> Communiqué (21 mai)
Pact'Alim (ex. Adepale)
« Pact’Alim appelle les sénateurs à renforcer cette avancée et à reconnaître nos métiers comme d’intérêt général majeur, au même titre que l’agriculture, la pêche et l’aquaculture. Les industriels et artisans de l’alimentation contribuent en effet pleinement à la souveraineté alimentaire en transformant les matières premières agricoles, de la pêche et de l’aquaculture, en produits alimentaires. »
> Communiqué (17 mai)
« La CR s’oppose complètement à la financiarisation du foncier agricole voulu par l’agrobusiness depuis 2014 (…) Il faut des mesures d’allègement fiscal pour favoriser les transmissions (…) La CR demande l’introduction dans la loi du principe absolu de la pluralité syndicale agricole et de la représentativité proportionnelle.»
> Communiqué (16 mai)
Collectif (Fnab + divers)
«Pas un mot sur l’agriculture biologique. Or, il faut bien former les agriculteurs et agricultrices de demain à l’agriculture biologique. De par ses bienfaits sur l’environnement et le bien-être animal, l’agriculture bio attire les salarié·es et nouveaux exploitant·es. L’enseignement agricole doit tenir compte de l’attractivité de ce modèle pour répondre aux motivations des agriculteur·ices de demain.»
> Communiqué (13 mai)
« La loi d’orientation pour le renouvellement des générations en agriculture doit répondre aux attentes des jeunes ! (…) Nous attendons une réécriture de certains articles, en particulier les articles 1 et 9 (…) .»
> Communiqué (13 mai)
La Conf' ; Fadear
«Le texte issu des travaux en commissions reste toujours très insuffisant et contient des dispositions dangereuses et contraires à la transition agro-environnementale. C‘est pourquoi, la Confédération paysanne et la FADEAR appellent les député·es à le modifier en profondeur pour atteindre réellement les objectifs qu'il prétend porter : assurer la souveraineté alimentaire et le renouvellement des générations.»
> Communiqué (13 mai)
«Pour le MODEF, cette LOA est un énième plan social qui risque de faire disparaître 150 000 exploitations agricoles. Cette LOA va affaiblir durablement l’Agriculture française et tuer l’Agriculture Familiale. Le MODEF appelle tous les députés à rejeter cette loi !»