Organisations profesisonnelles d'employeurs
«L’UDES réaffirme son attachement à un système de retraite par répartition, seul garant d’une solidarité nationale et intergénérationnelle et d’une protection équitable des actifs. Nous refusons toute bascule vers un modèle qui introduirait une quelconque part de capitalisation obligatoire (…) Pour assurer l’équilibre du régime (…) l’UDES appelle à explorer des financements alternatifs…»
> Communiqué (20 février)
Organisations syndicales de salariés
«15 milliards d’euros, c’est largement finançable. C’est l’estimation basse de ce que rapporterait une taxe sur les super-profits (…) Le système de retraite par répartition est solide d’autant plus qu’il repose sur la justice sociale. L’Union syndicale Solidaires s’oppose à toute réforme du système basée sur la capitalisation. Elle continue d’exiger le retrait de la réforme de 2023 et le retour à 62 ans, première étape avant la retraite à 60 ans.»
> Communiqué (20 février)
Unsa
«L’UNSA plaide pour un consensus qui assure la pérennité de notre système de retraites avec des efforts partagés et sans compromettre les principes de justice sociale et d’équité intergénérationnelle. Pour l’UNSA, différents leviers existent et doivent être mobilisés pour atteindre ces objectifs : utilisation du fonds de réserve des retraites, amélioration de l’emploi des seniors, garantir l’égalité femmes-hommes, augmentation des cotisations sociales, conditionnalité des exonérations de cotisations accordées aux employeurs ou encore lutte contre la pénibilité au travail.»
> Communiqué (20 février)
«Alors que le gouvernement cherche à s’appuyer sur le rapport pour défendre la réforme des retraites de 2023, la FSU réaffirme l’urgence de son abrogation (…) Assurer le financement de notre système de retraites est possible : c’est une question de choix dans le partage des richesses. Pour la FSU, il faut en finir avec les exonérations de cotisations, les suppressions d’emploi et l’austérité salariale, dans le public comme dans le privé. L’augmentation immédiate du point d’indice est la première des réponses.»
> Communiqué (20 février)
«Pour la CGT-FNPOS, il est urgent que la CGT sorte du piège de cette concertation qui n'aborgera pas la réforme de 2003 (…) seul le rapport de forces peut imposer des revendications: abrogation des réformes Borne et Touraine(…) ; rejet d'un système de capitalisation à deux niveaux (…); retraite à 60 ans avec 37,5 ans de durée de carrière…»