FMDC; AIMCC
«L’AIMCC et la FDMC (…) demandent des décisions rapides pour l’éradication de ses dérives actuelles et pour sa réouverture d’ici la fin septembre 2025 (…) La sécurisation du dispositif passe notamment par un renforcement de la gouvernance administrative (…), associant systématiquement les représentants de la filière aux processus décisionnels, le traitement des fraudes par catégorie et le renforcement des contrôles techniques (…)»
> Communiqué (6 juin)
Collectif (Afpac; AFPG; Capeb; Coedis; E&A; Enerplan; FIEEC; FFB; FFQ; FND; Gifam; GPCEE; Ignes; Propellet; SFCB;Sycabel; UFE; Uniclima)
«Nous souhaitons exprimer notre stupéfaction et les inquiétudes fortes de l’ensemble de la filière sur le devenir de la politique de rénovation énergétique, maillon pourtant essentiel de la stratégie de décarbonation de la France (…) La filière demande que soient enfin engagés des travaux pour une véritable et stable politique de rénovation qui soutienne et valorise la filière souveraine du bâtiment (industriels, distributeurs, artisans, installateurs, …), gage de qualité.»
> Communiqué (5 juin)
«La FNAIM appelle le gouvernement à revoir d’urgence sa position, à rétablir sans délai la continuité du dispositif MaPrimeRénov’ et à sortir d’une logique de stop-and-go qui nuit gravement à la confiance des Français et à la mobilisation des professionnels. »
> Communiqué (5 juin)
Collectif (Soliha + associations et entreprises)
«Le collectif Rénovons demande au Gouvernement de mettre les moyens financiers à la hauteur des ambitions et de s’engager à instruire et financer l’intégralité des demandes d’aide à la rénovation énergétique, d’ores et déjà déposées et à venir, pour 2025 (…) Les membres du collectif rappellent également la nécessité d’une programmation pluriannuelle du financement de la rénovation énergétique, afin de permettre aux ménages et à la filière de disposer de la stabilité et de la visibilité dont ils ont besoin. »
> Communiqué (4 juin)
«La CAPEB déplore l’absence de programmation sur plusieurs années d’un tel dispositif et juge nécessaire de plafonner les montants pour éviter qu’une minorité de dossiers de montants très élevés n’absorbent la majorité des crédits. Elle continue de plaider pour la mise en place d’un parcours de travaux* sur plusieurs années. »