La Fédération française du bâtiment estime que la suppression du PTZ et sa non extension aux zones B2 et C, préconisée dans un rapport conjoint de l’Inspection générale des finances et du Conseil général de l'environnement et du développement durable, relève d’un «véritable aveuglement». Il conteste la pertinence de cette préconisation fiscale, sachant qu’une période de taux bas pourrait permettre au contraire un «système d’accompagnement de la demande sociale peu coûteux» et sachant aussi que la zone C est la seule à avoir connu, en 2019, un regain sur les permis de construire du logement individuel. Le syndicat d’employeurs du secteur du bâtiment alerte sur le fait que «la suppression du PTZ se traduirait par une nouvelle relégation des ménages jeunes et modestes hors des villes et des bourgs».