Les organisations professionnelles (Ordre, syndicats, associations) de la profession des kinésithérapeutes se réunissent en «États généraux». Objectif: s’inscrire pleinement dans la réforme de la santé.
«Élaborer une plateforme commune dessinant la kinésithérapie de demain», non sans lien avec le «Ségur de la Santé»… C’est l’objectif commun à quelque 10 organisations représentatives des professionnels de kinésihérapie: Ordre national (CNOMK), syndicats et associations (Alizé, CMK, CNKS, FFMKR, Objectif Kiné, SNIFMK, SNMKR, Unakam), qui organisent des «États généraux», sous forme de «concertations, débats, échanges» entre organisations et consultation de «l’ensemble des kinésithérapeutes de France (…) invité à indiquer ses priorités».
La réflexion sera axée sur des thèmes tels que «la reconnaissance des compétences (…), la formation initiale et continue, la valorisation des carrières des kinésithérapeutes salariés, les freins administratifs et financiers à l’exercice ou encore la coordination des différents professionnels de santé».