«L’Union syndicale Solidaires appelle à plus de régulation, pour plus de protection des travailleurs et les travailleuses. Plutôt que de se priver délibérément de l’outil douanier, utiliser les instruments de régulation commerciale pour encourager le redressement de filières de production, aptes à répondre aux besoins locaux et conformes aux normes sociales et environnementales, constitue un outil essentielpour garantir des emplois stables, libérés de lacontrainte compétitive permanente (…)»
> Communiqué (20 mai)
Collectif Stop UE-Mercosur (La Conf'; CGT; FSU; Solidaires + associations)
«Des partisans de l'accord de libre-échange UE*-Mercosur* surfent sur les droits de douane généralisés imposés par Donald Trump. Ils prennent prétexte de ces annonces pour en appeler à une ratification rapide de l'accord le plus contesté de l'histoire européenne (…) Au contraire, nous avons besoin de régulations accrues du commerce international qui permettent que le bien-être des populations, la qualité des emplois, la souveraineté alimentaire, la protection des écosystèmes, les enjeux de solidarité internationale, priment sur l'accroissement sans limite du commerce international (…)»
> Communiqué (7 avril)
«La guerre commerciale est avant tout une guerre économique : c’est la compétitivité de l’industrie en Europe qui est en jeu et constitue un levier majeur. La réponse doit être européenne et industrielle. L’industrie cosmétique française appelle ainsi à un renforcement de la compétitivité du secteur sur son premier débouché : le marché européen (…)»
> Communiqué (4 avril)
«La CPME appelle l’Union européenne à rester unie et à prendre les mesures qui s’imposent en termes de réciprocité d’accès au marché européen avec des réponses ciblées sur certains produits ou services américains.»
> Communiqué (3 avril)
«La Commission européenne doit tenir une position ferme de riposte face à cette volonté de guerre commerciale, engager une stratégie de réponse diplomatique menant à une désescalade et, parallèlement, envisager dès à présent des mesures d’accompagnement des secteurs touchés.»
> Communiqué (3 avril)
«La filière regrette fortement cette décision qui est un coup dur pour les vins de Bourgogne sur son premier marché à l’export (…) Il est important de ne pas entrer dans ce jeu de guerre commerciale du côté des autorités françaises et européennes.»