Pour le Mouvement des entreprises de France, des mesures complémentaires de préservation de l'emploi et des compétences sont nécessaires.
Surcoût des dispositifs sanitaires, reprise d’activité progressive… Ce constat justifie, pour le Medef, «que les entreprises soient soutenues et accompagnées (…) afin de préserver autant que possible les emplois et les compétences». Il se prononce ainsi pour l’ajustement progressif du «dispositif d’activité partielle» et se dit «prêt à travailler à un nouveau dispositif (…), à l'image de celui proposé par la branche de la métallurgie» selon lequel «l’État et/ou l’Unédic prenne(nt) en charge l’indemnisation versée aux salariés pour les heures non travaillées».
L’organisation patronale réfléchit par ailleurs à une solution du même type, en «tenant compte de leurs spécificités» pour les secteurs du «commerce, (…) services (…) BTP».