Les Jeunes agriculteurs, la FNSEA et les chambres d'agriculture déclarent partager «la stratégie proposée par le gouvernement pour développer l'agriculture biologique» mais rappellent les conditions qui doivent être réunies pour atteindre ces «objectifs ambitieux».
Les chambres d'agriculture qui constatent que le climat change «vite et fortement» jugent que «les événements climatiques estivaux imposent une réforme (de la politique de gestion des risques - ndlr) véritablement ambitieuse dès cette année».
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L’institution ordinale des médecins se dit favorable à ce que la loi impose la vaccination obligatoire des soignants.
Réaffirmant sa position de mars 2021, le CNOM rappelle que «la vaccination des soignants contre la Covid-19 est une exigence éthique et un devoir professionnel fondamental» et qu’elle «s’impose à l’ensemble professionnels de la santé (professions réglementées mais aussi aide-ménagères, auxiliaires de vie, agents de service hospitalier…)».
S’il se dit «prêt à accompagner la mise en œuvre éventuelle d’une obligation vaccinale», il souligne néanmoins la nécessité «d'apporter toutes les garanties nécessaires pour faciliter l’exercice quotidien des médecins, qui sont les mieux placés pour mener un travail de conviction». En pratique, ils doivent donc «avoir accès facilement et rapidement à la liste exhaustive des patients non vaccinés», mais aussi être approvisionnés en «doses suffisantes pour vacciner sans délai les patients contactés, selon un processus d’approvisionnement parfaitement sécurisé (délai de livraison courts et fiable)».
L’organisation professionnelle LEEM se félicite de la nouvelle règlementation sur l’accès aux médicaments innovants.
Rappelant que cette nouvelle réglementation est issue de « la profonde réforme des mécanismes dérogatoires de prise en charge des médicaments prévue par la Loi de financement de la Sécurité sociale pour 2021 », LEEM salue la réponse à «une attente forte des industriels ».
Techniquement, les décrets instaurent «deux dispositifs d'accès et de prise en charge lisibles et identifiés »: un « accès précoce », qui permet d’anticiper la prise en charge par l’Assurance maladie de nouveaux médicaments; un « accès compassionnel », autorisant cette prise en charge pour des médicaments traitant des maladies très graves, sur prescription ou sur avis des autorités publiques.
Il en résulte une simplification « des prises en charges dérogatoires » ainsi qu’une adaptation du « délai de décision par les autorités » et une meilleure « prévisibilité des décisions et des conditions économiques de la prise en charge ».