La Confédération générale de l’encadrement ne croît pas en l’efficacité de l’approche patronale concernant l’organisation du télétravail.
La CGE-CGC (Confédération générale de l’encadrement-Confédération générale des cadres) continuera certes à participer aux réunions de travail organisées depuis le 5 mai 2020, à l’initiative des organisations d’employeurs, sur le télétravail. Un mode de fonctionnement qui s’est imposé du fait de la crise Covid.
Le syndicat de salariés n’en estime pas moins que le patronat «n’avait aucune volonté de créer des normes au niveau national sur ce sujet se contentant d’une “forme moderne d’action”» et laissant in fine le législateur encadrer les choses. Pour le syndicat de salariés, il serait préférable d’inscrire la démarche dans le paritarisme via un «accord national interprofessionnel (ANI)».