Pour les syndicats de l’État CGT, «les violences des policiers (…), les actes de certaines “forces racistes” ne sont pas de simples bavures mais relèvent bien d’un fait institutionnel multifactoriel que de nombreux gouvernements ont laissé faire».
Si elle tient à réaffirmer son soutien à «de nombreux fonctionnaires de l’Intérieur (…) attachés aux valeurs de la République et de la Démocratie», la fédération entend rappeler vouloir «une police apaisée, transparente, au service des populations, de la République et de la Démocratie», non pas «pas d’une milice au service des “Financiers”».