À l'issue d'une rencontre avec le secrétaire d'État chargé des PME, les organisations professionnelles de l'hôtellerie, des discothèques et lieux musicaux et festifs, jugent que beaucoup reste à faire pour relancer l'activité.
«Le contenu de cette réunion (le 24 juillet 2020–NDLR) certes, ne répond pas à la totalité de nos demandes, mais constitue une première prise en compte politique à l’égard de l’activité discothèques», souligne le collectif d'organisations (Union des métiers de l’hôtellerie, Groupement national des indépendants, Syndicat national des discothèques, Chambre syndicale des lieux musicaux et festifs, Syndicat national professionnels des métiers du CHRD & Co).
Si leur mobilisation collective a permis d'obtenir certaines assurances (fonds de solidarité, charges fixes, concertation avec le Conseil scientifique sur un calendrier de réouverture), les syndicats d'employeurs estiment néanmoins que «beaucoup de travail reste à faire» pour aider les entreprises à sortir de l'eau après la crise Covid. Elles insistent, en particulier «qu'il urgent de normaliser la relation entre le milieu bancaire et notre secteur d’activités».