Intersyndical (CFDT; CGT; CFE-CGC; FO)
«À l’heure où l’on nous parle de “simplification” les organisations syndicales demandent une solution lisible pour tous, qui consiste à changer quelques mots dans l’alinéa 5 de l’article L. 3141-5 du Code du travail: ouvriraient droit à congés payés les périodes pendant lesquelles l’exécution du contrat de travail est suspendue pour cause d’accident du travail ou de maladie, quelle qu’en soit l’origine”.
«La prise en compte de la 5 semaine de congés payés qui aurait pu et dû être prise en compte et qui existe depuis plus de 40 ans, ne l’a pas été par choix politique.»
«Le gouvernement a pourtant toute capacité à accorder le droit à 5 semaines de congés payés à tous·es les salarié·es. Il a fait le choix d’organiser un système incompréhensible opérant un rabotage des droits des salarié·es les plus vulnérables.»
«L’approche éthique personnelle doit être respectée. Il est d’autant plus indispensable d’introduire un droit de retrait pour les infirmières et les infirmiers libéraux si cet acte est remboursé par la Sécurité sociale dans la mesure où les IDEL sont soumis à lacontinuité des soins..»
«Les orthophonistes sont experts pour maintenir les capacités d’alimentation, de communication, des facultés cognitives, nécessaires à la décision partagée entre le patient, son entourage et les professionnels de santé (…) La FNO incite les pouvoirs publics à faire appel à l’expertise reconnue des orthophonistes dans le parcours de soins des personnes en fin de vie.»
«Le Réseau des Centres de lutte contre le cancer français, souhaite pouvoir rapidement travailler avec le ministère du Travail, de la Santé et des Solidarités sur l’avenir des soins palliatifs dans notre pays.»
«Nous dénonçons des annonces élyséennes qui ne prennent pas la mesure de la complexité du sujet, qui ignorent la réalité du terrain et font fi du travail réalisé par les équipes de soins en secteur hospitalier et libéral auprès des patients en fin de vie.»
«Ce texte constitue une avancée significative pour la prise en charge des patients en fin de vie (…) Cependant l’Ordre des médecins (…) sera extrêmement vigilant quant au respect du code de déontologie, ainsi qu’au choix des personnes intervenant dans la réalisation de l'acte.»