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Les antennes régionales de l'Unicem Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon constituent désormais l'UNICEM Occitanie. La nouvelle structure est présidée par Fabrice Charpentier.

L'Union nationale des industries des carrières et matériaux de construction Occitanie représentera désormais les entreprises de la branche affiliées jusque-là en Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon. Une fusion, actée le 28 février 2020, qui doit permettre à l'organisation professionnelle d'employeurs d'agir à l'échelle de la circonscription régionale créée en 2015. Afin toutefois de conserver une proximité de service aux adhérents, 2 délégations territoriales (Pyrénées, Méditerranée) ont été créées. La nouvelle entité régionale sera présidée par Fabrice Charpentier (ex. président de Midi-Pyrénées), son homologue pour Languedoc-Roussillon Emmanuel Faure ayant fonction de vice-président. Priorités de la nouvelle équipe: «s’engager sur des sujets en phase avec les préoccupations du grand public: développement d’une économie circulaire, maintien de la biodiversité, concertation avec les parties prenantes».

Communiqué UNICEM Occitanie – 28 février 2020

L'Association pour l’emploi des cadres et l'Association pour l’emploi des cadres ingénieurs et techniciens de l’agriculture, l’agroalimentaire et l’environnement, renforcent leur coopération afin d'élargir l'accès à l'emploi de leurs affiliés.

C'est dans le cadre du Salon de l'agriculture 2020, que Philippe Dialynas, directeur délégué de l’APEC, et Gilbert Keromnes, président de l’APECITA, ont acté une convention de partenariat ayant pour objet de permettre à leurs affiliés «d’accéder au plus grand nombre d’opportunités d’emploi». Concrètement, les deux structures s'engagent à accompagner les cadres en recherche d'emploi, particulièrement les demandeurs d'emploi de longue durée, à s'orienter vers la filière agricole ou agro-alimentaire couverte par l'APECITA, ou, inversement, vers les filières couvertes par l'APEC. Un autre volet du partenariat porte sur la production et la mise en commun de «projets d’études en lien avec les secteurs agricole, agroalimentaire, du paysage et de l’environnement».

Communiqué commun APEC, APECITA – 27 février 2020

La Ligue nationale de rugby, le magazine Têtu, la Société générale s'engagent en commun dans la lutte contre l'homophobie à travers une campagne auprès des clubs et des professionnels, prélude à un programme plus global de promotion de la diversité.

Une initiative commune à la LNR, au magazine Têtu, bénéficiant du soutien de la Société générale, est engagée pour lutter contre l'homophobie. Sous le label «#PlaquonslHomophobie», cette campagne consistera notamment en l'organisation d'ateliers de sensibilisation dans les «30 clubs professionnels et centres de formation», auprès des joueurs, présidents, entraîneurs et d'une «journée de championnat inclusive» en mai.  Le développement des «partenariats avec le club de rugby inclusif Les Coqs Festifs ou avec l’association Ovale Citoyen», ainsi que la « promotion de la charte (…) du ministère des Sports » seront également mis en œuvre. 

Le président de la ligue, Paul Goze, précise à cet égard: «Avec beaucoup d’humilité et de détermination, nous voulons que les jeunes rugbymen deviennent des ambassadeurs de leur sport et du vivre-ensemble». Cette mobilisation répond aux attentes exprimées lors d'une étude réalisée par Oliver Wyman, établissant que si «pour 95% des répondants le rugby symbolise le sport du vivre-ensemble; 87% d’entre eux estiment qu’il n’est pas facile d'être un joueur de rugby homosexuel» et que «39% veulent aller plus loin et attendent des actions proactives pour faire progresser les mentalités et les comportements, en s’appuyant sur les valeurs du rugby». Elle inaugure le «nouveau programme sociétal “Célébrons la diversité”» développé par la ligue sportive professionnelle sportive. 

Communiqué LNR – 27 février 2020

La Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles et l'Union nationale des industries de carrières et matériaux engagent un partenariat visant à concilier la préservation du foncier agricole et l'extraction des minéraux.

Paraphé à l'occasion du Salon de l'agriculture 2020, le partenariat entre la FNSEA et l'UNICEM se fonde sur un «intérêt commun» en matière de «connaissance et (…) exploitation du sol et du sous-sol», de coexistence de «leurs activités (…) au sein des mêmes territoires» et plus généralement, d'une volonté commune de promouvoir «une agriculture et une activité extractive résilientes et compétitives». Ainsi que le rappelle la présidente du syndicat d'exploitants agricoles, Christiane Lambert, il s'agit de «Trouver un équilibre entre la nécessaire protection des terres agricoles (…) et permettre à notre pays de disposer de ressources minérales nécessaires aux citoyens et aux industries nationales pour la construction de logements, la réalisation d’infrastructures». Son homologue de l'Unicem, Nicolas Vuillier, précise qu'agriculteurs et producteurs de matériaux minéraux «souhaitent préserver et améliorer leurs relations à un moment où la lutte contre l’artificialisation des sols et la prise en compte des enjeux environnementaux et climatiques représentent des défis communs». 

Leur ambition commune se matérialisera par des actions multiples: «convergence de vue sur les politiques publiques notamment en matière de protection foncière et de compensation environnementale ou économique»; «observatoire commun permettant le suivi de l’évolution des surfaces agricoles et extractives»; activation des «leviers qui permettent de réduire la consommation d’espaces agricoles»; «mesures d’accompagnement du tissu agricole concerné par l’exploitation d’une carrière»; «indicateurs adaptés (concernant le -NDLR) déploiement… des solutions concrètes». Cette démarche répond aux objectifs publics concernant le «zéro artificialisation nette». 

Communiqué commun FNSEA, Unicem – 27 février 2020