Une charte de la transparence sur l'utilisation des animaux dans la rercherche

Une trentaine d'organisations professionnelles, entreprises, établissements publics, s'engagent à la transparence sur l'utilisation des animaux à des fins de recherche scientifiques. Co-signée notamment par les syndicats professionnels LEEM, SIMV, sociétés savantes (Société des Neurosciences) centres de recherche (Inrae, Inserm, Institut Pasteur, IRSN, CRC Léon-Bernard) et universités (Aix-Marseille, Paris, Paris Sorbonne, Stransbourg, Bretagne occidentale), la charte permettra aux acteurs d'assurer le grand public que cette utilisation est «encadrée par une réglementation spécifique qui protège (les animaux-NDLR),veille à leur bien-être et impose le respect de règles éthiques», et de lui apporter une information complète, claire et exacte sur les raisons et les conditions de l’utilisation (…) ainsi que sur les progrès scientifiques et médicaux qui en découlent». 

Dans cette perspective, la Charte fixe 4 obligations aux signataires: «principe de transparence et d’information sur nos pratiques» (pour les personnels, comme pour les citoyens), accessibilité du «grand public» à l'information (contenu, médias édités), «développement des échanges d'information avec le grand public et les médias» (méthode en cours d'élaboration), «document de synthèse annuel sur le suivi de la Charte».

Communiqué commun LEEM, SIMV, CNRS, Inrae, Inserm, Institut Pasteur, IRSN, CRC Léon-Bernard, Aix-Marseille Université, Ouest-Bretagne Université, Université de Paris, Sorbonne, Université de Strasbourg, Société des Neurosciences, ICS, IPSEN, Gircor, CEA, entreprises (Bayer, Biotral, Bio 2M, Boehringer, Celphedia, Charles River, Marshall, Phenomin, Sanofi, Servier) – 22 février 2021

Le réseau Anact-Aract propose une méthode pour «co-construire le changement»

Le réseau Anact-Aract lance un nouveau kit de gestion du changement à l'attention des entreprises «qui cherchent à sortir des conduites de projet "descendantes" pour développer de nouvelles capacités de transformation en associant leurs salariés». Ce nouvel outil destiné aux concepteurs, chefs de projet, responsables RH et représentants des salariés met en œuvre «des démarches de simulation des situations de travail» destinées à limiter «les dysfonctionnements et tensions liées aux projets de transformation non adaptés».

Communiqué Anact-Aract - 19 février 2021

Pôle emploi lance des stages en télétravail au Québec

Pôle emploi et l’Office franco-québécois pour la jeunesse (OFQJ) proposent des stages outre-Atlantique en télétravail aux jeunes demandeurs d'emploi (non étudiants entre 18 et 35 ans inscrits à Pôle emploi). Florence Dumontier, Directrice de la mobilité internationale de Pôle emploi, précise que « ces stages à distance sont une vraie opportunité de développer une expérience et un réseau outre-Atlantique indispensables pour préparer un départ futur vers le Canada et l’entrée en entreprise». Pôle emploi proposant depuis 25 ans ces stages en présentiel au Québec, elle ajoute que «ces jeunes (…) auront la possibilité de réaliser, dès la réouverture des frontières, un nouveau stage de perfectionnement en présentiel au Québec, chez le même employeur ou au sein d’une autre entreprise ».

Communiqué Pôle emploi - 19 février 2021

Les Chambres d'agriculture vont accueillir des volontaires du Service civique

Le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation «a sollicité le réseau des Chambres d'agriculture» afin qu'il accueille des volontaires du Service civique dans le cadre du plan France relance et de son volet «1 jeune, 1 solution». L'objectif est «de mobiliser jusqu'à 400 volontaires (…) en 2021 et 2022» pour qu'ils contribuent à «faire connaître les activités d'intérêt général» des chambres d'agriculture, «lutter contre l'isolement des acteur ruraux» et promouvoir le plan France relance «auprès de tous les agriculteurs». Le recrutement portera sur «des jeunes de 16 à 15 ans (30 en cas de situation de handicap) sans condition de diplôme ou de formation».

Communiqué Gouvernement, APCA - 18 février 2021

La MSA lance le parcours « Je me sépare »

La Mutualité sociale agricole (MSA) déploie un nouveau service «pour mieux orienter, conseiller et accompagner ses adhérents et leurs familles en cas de séparation». Les caisses de MSA prennent l'initiative de contacter les adhérents qui ont déclaré leur séparation. Un « Rendez-vous prestations » est organisé avec un conseiller MSA pour vérifier qu'ils «disposent bien de l'ensemble des aides auxquelles ils ont droit»: budget, logement, santé, versement de la pension alimentaire, garde des enfants… La MSA ajoute qu'en cas de difficultés «un rendez-vous personnalisé avec un travailleur social de la MSA peut également être proposé».

Communiqué MSA - 17 février 2021