FO ne souscrit pas au capital privé de la Française des jeux
Force ouvrière dit s’opposer à la privatisation de la Française des jeux. Pour le syndicat de salariés, au contraire de l’argument du Gouvernement, «l’État en tant qu’opérateur peut assurer dans les meilleures conditions son rôle de régulateur au nom de l’intérêt public, en échappant aux intérêts financiers à portée immédiate». Un argument conforté par l’expérience des autoroutes, pour lesquels «le bénéficie immédiat de la cession» a été «largement contrebalancé par la perte de revenus à plus long terme». FO s’oppose aussi à la privatisation d’Aéroports de Paris.