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    — Toute l'actualité —

    Archives Positions
    20 décembre 2019

    Les employeurs du transport routier demandent un soutien public d'urgence

    Les organisations professionnelles du transport routier de marchandises (Fédération nationale du transport routier, Union Transport et logistique de France, Union nationale des organisations syndicales des transporteurs routiers automobiles, Chambre syndicale du déménagement, Organisation du transport routier européen) demandent un soutien public d'urgence aux entreprises du secteur. 

    Motivée par la succession de mouvements sociaux (Gilets jaunes, mobilisation anti-réforme des retraites) qui affecte la pérennité des entreprises, la requête des syndicats d'employeurs porte concrètement sur: «l'anticipation du remboursement semestriel de TICPE», une incitation des «établissements bancaires» à accorder des «report d'échéances dans leurs paiements», «l’irrecevabilité des pénalités pour retard de livraison». C'est aussi l'occasion de réclamer, une fois encore, l'abandon de «la hausse de la fiscalité du gazole professionnel» prévue dans la loi de finances 2020. L'OTRE demande également «qu’aucune infraction à la RSE ne soit retenue à l’encontre des entreprises sur toute la période couvrant les mouvements sociaux liés à la grève contre la réforme des retraites».

    Communique OTRE – 20 décembre 2019; Communiqué commun FNTR, Unostra, Union TLF, CSD – 18 décembre 2019

    Tags: réforme des retraites, fiscalité
    Archives Positions
    20 décembre 2019

    Les syndicats professionnels de la culture regrettent les coupes dans le budget du CNC

    La décision du conseil d'administration du Centre national du cinéma d'une «baisse de 5,29% appliquée de manière uniforme à l'ensemble des aides au cinéma» motive une réaction négative de la part de plusieurs syndicats d'employeurs de la filière attachés aux aides sélectives (Association du cinéma indépendant pour sa diffusion, Association française des cinémas d'art et d'essai, Groupement national du cinéma de recherche, Syndicat des cinémas d’art, de répertoire et d’essai, Syndicat des producteurs indépendants, Société des réalisateurs français).

    Les organisations professionnelles considèrent que  «cette décision (…)  fragilise la filière indépendante et des politiques qui ont fait leurs preuves jusqu’ici» et rappellent, que lors de la concertation préalable à cette décision, les professionnels avaient pointé la nécessité de préserver les aides sélectives, «véritable levier politique et culturel pour le CNC, mais aussi outil précieux de correction du marché».  Elles espèrent toutefois que la «nouvelle concertation en 2020 pour une remise à plat de lʼensemble de ses aides au cinéma» programmée par le Gouvernement «sera une réelle opportunité. pour une politique culturelle ambitieuse en faveur du cinéma en France». 

    Communiqué commun ACID, AFCAE, GNCR, SCARE, SPI, SRF – 20 décembre 2019

    Tags: CNC (cinéma)
    Archives Positions
    19 décembre 2019

    Réformes des retraites: la trêve divise syndicats et patronat

    Alors qu’une nouvelle séance de négociation sur la réforme des retraites entre Gouvernement et syndicats de salariés s’ouvre à Matignon, le 18 décembre 2019, l’hypothèse d’une trêve pour la période des fêtes de Noël divise les acteurs économiques et sociaux. Les syndicats de salariés renvoient la responsabilité sur les pouvoirs publics. Les syndicats d’employeurs souhaitent qu’une solution soit trouvée dans la mesure où l’activité des entreprises se trouve fragilisée.

    L’intersyndicale ne fait pas trêve du refus du projet

    Pour l’intersyndicale regroupant la CGT, FO, Solidaires, la FSU, l’UNEF, le MNL, la FIDL, l’UNL, il est clair que «Sans annonce du retrait, il n’y aura pas de trêve. Nous appelons à organiser des actions de grève et de manifestation partout où c'est possible, notamment le 19 décembre par des mobilisations locales et ce, jusqu’à la fin de l’année». Le collectif se dit néanmoins disponible «pour discuter d'un autre projet pour le renforcement et l'amélioration du système actuel par répartition, solidaire et intergénérationnel».

    La Confédération générale du travail précise par ailleurs que «Avec cette réforme, la question que tout le monde se posera est: à quel âge je vais pouvoir partir à la retraite et quel sera le montant de ma pension ? Et cette question n’appelle aucune réponse claire du Gouvernement qui prétend pourtant vouloir faire une réforme plus juste, plus équitable et plus responsable». La confédération syndicale rappelle en outre le «refus (du Gouvernement-NDLR) d’accorder un coup de pouce au Smic, en considérant que l’augmentation légale de 15 euros par mois est largement suffisante». La fédération des cheminots CGT dénonce de son côté un «décret, avec effet immédiat, portant dérogation aux règles en matière de temps de conduite et de repos pour le transport routier de voyageurs», lequel autorise concrètement «les conducteurs de cars à dépasser jusqu’au mardi 24 décembre 2019 inclus: la durée maximale de conduite journalière (…) et hebdomadaire». Une décision que le syndicat estime scandaleuse, même si elle est temporaire, sur le plan de l’atteinte aux droits sociaux comme au droit de grève.

    Les syndicats d’employeurs refusent la hausse des cotisations sociales

    Pour la Confédération des petites et moyennes entreprises, au contraire, il «est de la responsabilité du Gouvernement de ne pas céder à la menace et de refuser (…) ce type de marchandage revenant à ponctionner le pouvoir d’achat des salariés et à diminuer la compétitivité des entreprises françaises en augmentant le coût du travail. La CPME insiste aussi sur le fait que «Le secteur privé dont notamment le commerce, paie un lourd tribut alors-même que les grévistes bénéficient de régimes de retraites plus favorables que le leur».

    Des craintes pour les entreprises de multiples secteurs

    Plusieurs organisations professionnelles s’inquiètent, par ailleurs, des conséquences négatives de la mobilisation pour divers secteurs d’activité. Ainsi d’un collectif du secteur des transports regroupant Agents maritimes et consignataires de France (AMCF), Armateurs de France, Union nationale des industries de la manutention (UNIM), Union des ports de France (UPF), Union TLF Overseas, qui note avec insatisfaction que les «conséquences sont catastrophiques pour l'ensemble des professions maritimes et portuaires. Elles grèvent une fois de plus la compétitivité des ports que nous essayons tous de restaurer, la fluidité du passage des marchandises et des passagers dans la période de forte activité actuelle, et impactent de facto l'économie française». Les syndicats d’employeurs «en appellent à la raison, au bon sens et à la responsabilité de chacun pour mettre un terme à cette situation».

    Ainsi aussi de la Confédération des acteurs du tourisme (ACT), regroupant près d’une quinzaine d’acteurs professionnels, qui a réuni une «cellule de crise». Établi le «bilan sans appel: (…) c’est toute une filière qui se trouve gravement fragilisée», et que «Les pertes d’activité des professionnels durant cette longue période ne seront pas rattrapées», l’ACT fait appel «à la responsabilité collective» pour qu’il soit mis «fin de cette mise à l’arrêt du pays». Son président Roland Héguy (par ailleurs président de l’Union nationale des métiers et industries de l’hôtellerie-NDLR) précise: «Le droit de grève existe dans notre pays mais nous ne pouvons pas accepter qu’il fragilise la France et mette en danger des entreprises et leurs salariés. Tous les efforts pour développer l’attractivité touristique de la France sont balayés par ces mouvement sociaux qui nuisent à l’image de notre pays et à son développement touristique».

    La tête de réseau consulaire du commerce et de l’industrie, CCI France, par la voix de son président Pierre Goguet estime que «Chacun doit prendre ses responsabilités pour rétablir une activité normale au plus vite et éviter à des entreprises, qui travaillent déjà en mode dégradé ou connaissent des problèmes d'approvisionnement, de se retrouver dans une situation désastreuse». Il y a «urgence à retrouver une fluidité dans les transports et à garantir l’accessibilité».

    Communiqué ACT – 19 décembre 2019; Communiqué CPME; Communiqué CCI France – 18 novembre 2019; Communiqué intersyndical CGT, FO, Solidaires, FSU, UNEF, MNL, FIDL, UNL ; Communiqué CGT; Communiqué CGT Cheminots – 17 décembre 2019

    Tags: réforme des retraites, chambre consulaire, Pierre Goguet, Roland Héguy, syndicat étudiant, droit de grève, syndicat lycéen
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    18 décembre 2019

    La CSMF et le SML appellent à la grève des gardes

    La Confédération des syndicats médicaux français (CSMF) et le Syndicat des médecins libéraux (SML), appellent «la profession à: ne plus participer aux gardes du samedi tant qu’ils ne sont pas honorés, à fermer leur cabinet dès le vendredi soir». Une grève des gardes qui «prendra effet dès le samedi 21 décembre et sera reconductible tous les samedis», à moins que le Gouvernement ne se décide à leur accorder «des majorations d’urgence pour tous les actes effectués dans le contexte d’urgence». 

    Cette prise de position des syndicats de professionnels libéraux du secteur sanitaire et social s'explique par le fait que «la ministre de la Santé veut encore solliciter davantage les médecins libéraux» pour répondre à la crise des Urgences, mais qu'en même temps «le samedi matin n’est pas inclus dans le dispositif de permanence de soins ambulatoires» ce qui induit que les professionnels ne sont pas rémunérés. 

    Communiqué commun CSMF, SML – 17 décembre 2019

    Tags: Plan sur les urgences médicales, gardes médicales
    Archives Positions
    18 décembre 2019

    L’OTRE étudie toutes les voies juridiques pour contrer la hausse de la TICPE

    Suite à l’adoption par l’Assemblée nationale de l’article 19 du projet de loi de finances prévoyant une réduction de deux centimes par litre du remboursement partiel de la TICPE, l’Organisation du transport routier européen (OTRE) «étudie toutes les voies juridiques pour combattre» ce qu’elle juge être un refus de concurrence équitable par le pouvoirs publics.

    S’il estime que des avancées ont été obtenues (pas de hausse de la «fiscalité des entreprises sur le carburant d’ici 2022», «remboursement accéléré de la TICPE en 2020», «mise en place d’un gazole professionnel à la pompe dès 2021», «accord de transition énergétique de filière»), le syndicat d’employeurs du secteur du transport exige néanmoins une concrétisation rapide («accord préalable dès janvier 2020 (…) ouverture du débat sur un accord de filière sur la transition énergétique». L’OTRE demande surtout «la sanctuarisation de la TICPE au-delà de 2022» et que, dans le cadre du PLF 2021, soit engagée une «véritable concertation sur la proposition de la profession d’Éco-Contribution» faite par les organisations professionnelles et «soutenue par de nombreux parlementaires de tous les groupes politiques».

    Communiqué OTRE – 18 décembre 2019

    Tags: fiscalité
    Archives Positions
    18 décembre 2019

    La Coordination rurale dénonce un vrai « plan social agricole »

    La Coordination rurale interpelle le Président de la République et lui «demande de tenir les promesses formulées à Rungis concernant la juste rémunération des producteurs et à la Sorbonne pour une PAC (politique agricole commune – NDLR) offensive capable de remettre à flot l’agriculture qui est le secteur vital pour la société».

    Cette interpellation fait suite à la publication des données de l'Insee (le 17 décembre 2019) relatives au secteur agricole, qui démontrent clairement qu'un «plan de restructuration agricole sans précédent continue de supprimer des exploitations et des agriculteurs en poursuivant la paupérisation des futurs exclus et, hélas, en poussant de plus en plus au désespoir». Pour la Coordination rurale, il faut parler de véritable «plan social agricole».

    Communiqué Coordination rurale – 18 décembre 2018

    Tags: Insee
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