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    — Toute l'actualité —

    Archives Positions
    9 juillet 2019

    Pour la CFE-CGC, il faut conforter et adapter le plan d'Action Logement

    Pour la Confédération de l’encadrement – Confédération générale des cadres il est impératif que «l’universalité des services d’Action Logement» soit «préservée» et, qu'en particulier, son «Plan d'investissement volontaire (PIV)» soit conforté en même temps qu'adapté. L'institution professionnelle plaide, quant à l'adaptation, pour l'inclusion d'une «offre de logement intermédiaire vers les classes moyennes qui connaissent des difficultés à se loger dans les grandes agglomérations» et, au contraire, l'exclusion des «dispositions éloignées de son objet social, comme la rénovation des établissements médico-sociaux».

    La CFE-CGC rappelle, surtout, que «des incertitudes pèsent encore sur la réussite de l’appel aux marchés financiers pour (…) financer les deux tiers» du PIV, avec un risque réel «d’instaurer une crise de confiance, voire de légitimité, entre les grandes entreprises qui sont ses principaux financeurs et Action Logement», et par conséquent, avec un impact négatif sur les salariés de la structure. 

    Communiqué CFE-CGC – 9 juillet 2019

    Tags: paritarisme
    Archives Positions
    8 juillet 2019

    L'Ordre des pharmaciens se mobilise pour parer les ruptures d'approvisionnement de médicaments

    L’Ordre national des pharmaciens se dit favorable au principe de «Dossier pharmaceutique» et son volet «DP-Ruptures» présenté dans les locaux de l'institution ordinale, le 8 juillet 2019, par la ministre de la Santé. Le DP-Ruptures doit servir à prévenir les ruptures d'approvisionnement de médicaments en mobilisant «toute la chaîne de distribution incluant les grossistes-répartiteurs et les dépositaires d’ici 2020». 

    En première ligne pour l'information, la communication auprès du patient, ayant droit de remplacer ledit médicament par un autre «en cas de rupture d’un MITM (médicament d’intérêt thérapeutique», le pharmacien d'officine voit «rôle au service de la santé publique (…) reconnu et valorisé». Ainsi que l'explique la présidente du Conseil national de l'ordre des pharmaciens, Carine Wolf-Thal: «Aujourd’hui c’est la consécration de l’utilité du Dossier pharmaceutique pour la sécurisation de la chaîne du médicament (…), nous mesurons les responsabilités qui nous sont confiées par la ministre, nous ferons tout pour être au rendez-vous».

    Dès 2019, il devrait être possible d'assurer un «dépannage d'urgence» pour  «des médicaments pour lesquels une rupture de traitement aurait des conséquences cliniques importantes». Et dès 2020, le DP-Ruptures devrait ouvert aux «aux grossistes répartiteurs et dépositaires pour leur permettre d’exercer eux aussi pleinement leurs missions».

     Communique CNOP – 8 juillet 2019

    Tags: Carine Wolf-Thal
    Archives Positions
    8 juillet 2019

    Les syndicats veulent du concret dans la lutte contre les violences faites aux femmes

    La Confédération générale du travail se félicite de la décision gouvernementale d'organiser un «Grenelle des violences conjugales» (3 septembre 2019-NDLR), mais souhaite «que les pouvoirs publics (…) adoptent des mesures budgétaires et législatives pour faire reculer les violences», ce qui veut dire aussi des «moyens financiers et humains conséquents (…) pour assurer un accueil des victimes dans tous les commissariats, leur garantir ainsi qu’à leurs enfants un accompagnement social et sanitaire gratuit et permettre un traitement judiciaire rapide de leurs plaintes. L’ensemble des professionnel.le.s doivent être formé.e.s, et des hébergements d’urgence doivent être créés».

    La CGT rappelle par ailleurs la convention récente de l'OIT relative aux violences au travail et demande que sa ratification par la France s'accompagne de la mise en œuvre de mesures telles que: «congés payés», « droit (…) de mobilité géographique, fonctionnelle et à des modifications d’horaires», «interdiction des licenciements des femmes victimes et l’allongement des délais de prescription des licenciements abusifs».

    Pour l'Union syndicale Solidaires, il faut aller plus loin qu'un Grenelle ou de nouvelles lois, et acter «aucune plainte refusée et sans suite (…), des mesures de protection rapides (…), des places suffisantes en hébergement d’urgence dans tous les départements, des fonds pour les associations qui accompagnent les femmes victimes». L'institution professionnelle estime que la récente convention de l'OIT constitue une «avancée notable», dont la ratification par la France doit s'accompagner des «moyens nécessaires pour que ça change». 

    Communiqué CGT; Communiqué Solidaires – 8 juillet 2019

    Tags: droit du travail, convention internationale, Grenelle des violences conjugales
    Archives Positions
    8 juillet 2019

    Les organisations agricoles ne veulent pas qu'importe le Mercosur

    L'accord entre l'Union européenne et le Mercosur suscite le mécontentement des organisations d'exploitants agricoles ainsi que de certains syndicats de salariés. 

    L'agriculture européenne sacrifiée selon les organisations de producteurs et interprofessions agricoles

    La Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles et Jeunes agriculteurs réaffirment leur opposition à la signature d'un accord entre l'Union européenne et le Mercosur, alors que se profile «une finalisation technique de l’accord dans les jours à venir». Pour les institutions professionnelles du secteur agricole, cet accord est une «remise en cause de notre agriculture, mais aussi de notre alimentation, de la santé des consommateurs et des engagements climatiques», et il faut craindre un défaut de «compétitivité de l'agriculture européenne» et en particulier française, du fait que «Les exploitations agricoles (…) ne pourront pas survivre à l’empilement des contraintes sur les normes de production (…) et en même temps à l’importation de produits qui ne les respectent pas». 

    La Coordination rurale se dit «scandalisée de voir que l’agriculture est encore considérée comme la variable d’ajustement, à sacrifier au profit d’autres secteurs» et insiste sur le fait que «seule l’exception agriculturelle, placée sous l’égide de l’ONU, pourra permettre de sortir l’agriculture d’accords de libre-échange destructeurs». Elle se mobilise par ailleurs auprès des députés pour faire barrage au traité CETA.

    La Confédération paysanne «s'oppose à cet accord (…), comme à tous les accords de libre-échange, (…) symbole de la fuite en avant d'un système (…) pourtant à bout de souffle dans le domaine agricole», ce d'autant que «le président brésilien a déjà annoncé n'avoir aucune intention d'appliquer» les Accords de Paris sur le climat et n'est pas forcément un exemple sur la promotion des droits humains inscrite dans les traités de l'UE. La Conf' appelle les élus au Parlement européen «à ne pas ratifier l'accord». 

    L'Association interprofessionnelle de la betterave et du sucre (AIBS) estime également que l'accord sacrifie une filière agricole, dans un contexte où «le secteur betterave-sucre-éthanol européen traverse une crise sans précédent et que la fermeture de plusieurs sucreries est annoncée» et précise que les concessions sur le sucre et l’éthanol représentent l’équivalent de 1,5 Mt. de sucre, soit la production de 7 sucreries européennes», qui plus est au bénéfice d'un pays, le Brésil, «où 74 % des produits phytosanitaires utilisés (…) ne sont pas autorisés en Europe». L'interprofession regrette que «la Commission reste sourde aux alertes de la profession, alors même que son «Groupe à Haut Niveau sur le marché du sucre (…) vient de recommander que la sensibilité du sucre et de l’éthanol soit reconnue». L'AIBS demande aussi aux représentants français au sein de l'UE à «s'opposer à la ratification» et au Gouvernement français de communiquer activement «sur les différences de production entre la France et les pays-tiers».

    Pour Agriculture & Territoires, tête de réseau des chambres d'agriculture, «Toutes les conditions sont réunies pour que la critique et l’inquiétude émergent. Et la clause de sauvegarde obtenue par l’UE n’est pas une garantie suffisante», selon l'expression du président Claude Cochonneau. Maximin Charpentier, référent Affaires européennes au sein de l'institution professionnelle constate que l'accord va clairement «à l'encontre» de l'objectif de «conserver et faire progresser l’agriculture française». 

    L'interprofession de la viande bovine Interbev interroge les pouvoirs publics sur l'opportunité de «continuer d’accepter de tels accords (Mercosur, Canada–NDLR) et permettre l’arrivée massive de ces viandes importées» après avoir listé les points sur lesquels ils «menacent la filière européenne»: ciblage du marché rémunérateur de «l'aloyau»; contournement des normes via l'utilisation de «farines animales (…), antibiotiques (…) OGM, pesticides»; absence de «traçabilité individuelle»; «forts volumes selon des standards de production qui ne répondent pas aux exigences des consommateurs et ambitions de la Politique agricole commune à la fois sur le plan environnemental et de la protection animale». Dans un communiqué commun avec d'autres organisations représentatives de la filière de l'élevage en Europe – Assocarni (Italie), Assoprovac (Espagne), Irish Farmers’ Association (Irlande), PZPBM (Pologne) – Interbev «condamne fermement cet accord politique et appelle les membres du Parlement européen ainsi que les États membres à rejeter l’accord».

     Les syndicats de salariés plaident pour une révision de l'accord au nom des droits des travailleurs

    Le refus des syndicats d'exploitants agricoles trouve un écho auprès de la Confédération générale du travail qui considère notamment que «cet accord est négocié dans le plus grand secret, mettant à bas toute règle de transparence et de contrôle démocratique», que les positions actuelles du président brésilien posent problème en matière environnementale, que l'accord signé le 28 juin ne garantit pas un «véritable engagement concernant l’amélioration des droits des travailleurs, des droits humains, des droits environnementaux et de la protection des consommateurs dans l’ensemble des pays concernés», en contradiction avec les déclarations d'Emmanuel Macron devant l'OIT dernièrement. La CGT appelle les parlementaires européens et français à ne pas valider l'accord. 

    Force ouvrière demande «que l'Union européenne révise sa position», compte tenu de l'impact négatif de l'accord sur «les filières viande françaises (…) et les filières sucrières, déjà grandement sous pression en France», de son incompatibilité avec les «exigences de l’Accord de Paris», de «l'opacité des négociations commerciales bilatérales, en dehors de tout cadre multilatéral». Pour FO, c'est l'OIT qui «doit être le chef de file de la régulation sociale de la mondialisation (…)» et pouvoir imposer des «dispositions contraignantes afin que les normes internationales du travail soient respectées et garanties». 

    Un appel collectif aux députés contre le CETA 

    Un front commun entre organisations d'employeurs et de salariés s'organise également à propos du CETA (Comprehensive Economic and Trade Agreement – NDLR) entre Union européenne et Canada. Quelque 72 structures professionnelles, associatives, citoyennes et de consommateurs – parmi lesquelles la CFTC, la CFE-CGC, la CGT, Solidaires, le SNESUP-FSU, la Confédération paysanne, la Fédération nationale de l'élevage, la Fédération nationale bovine, Interbev, Jeunes agriculteurs – ont adressé, le 2 juillet 2019, un courrier aux parlementaires français afin qu'ils n'entérinent pas le texte européen.

    Les signataires rappellent notamment que «le Gouvernement a établi un plan d’action dont la mise en œuvre est jugée sévèrement, y compris par les services du ministère de la Transition écologique» et que certaines de ses propositions sont été invalidées par la Commission européenne «sous la pression du Canada». Ratifier «le texte en l'état», selon elles, priverait la France d'un «d'un puissant levier pour obtenir une réforme de la politique commerciale européenne» et pourrait l'affaiblir «au moment de la relance de négociations avec les États-Unis».

    Communiqué Coordination rurale; Communiqué FNSEA-JA – 26 juin 2019; Communiqué Confédération paysanne; Communiqué CGT – 1er juillet 2019; Communiqué AIBS; Communiqué Agriculture & Territoires; Communiqué Force ouvrière; Lettre collective aux députés de 72 organisations – 2 juillet 2019 ; Communiqué Interbev – 4 juillet 2019; Communiqué commun Interbev, Assocarni, Assoprovac, Irish Farmers’ Association, PZPBM – 8 juillet 2019

    Tags: transition écologique, Claude Cochonneau, normalisation, certification, Union européenne, chambre consulaire, Parlement européen, libre échange, filière agro-alimentaire
    Archives Positions
    7 juillet 2019

    FO prête à la « grève » pour la cause des retraites

    Force ouvrière via son secrétaire général Yves Veyrier annonce son intention d'«aller à la grève d’ensemble pour préserver la retraite et la protection sociale» et projette une mobilisation nationale le 21 septembre 2019. L'institution professionnelle rappelle son opposition au «principe même d’un régime universel sous tutelle de l’État dont les syndicats et la négociation collective seraient évincés».

    Alors même qu'une clarification du Haut-commissaire n'a pas été faite auprès des partenaires sociaux, des informations «distillées dans la presse» font pressentir, selon l'institution professionnelle, un nouveau régime ayant pour effet de «dégrader les droits existants», avec «baisse du niveau de pension», «âge effectif de départ retardé», «malus destiné à contraindre à aller jusqu’à 64 an», sans oublier les incertitudes sur «les dispositions liées à la pénibilité (services actifs) et les droits dérivés (réversion, bonifications)».

    Communiqué Force ouvrière – 7 juillet 2019

    Tags: réforme des retraites, Yves Veyrier, droit du travail
    Archives Positions
    6 juillet 2019

    Une coordination pour fortifier le « RIP » contre la privatisation d'ADP

    Une trentaine d'organisations syndicales (Solidaires, Confédération générale du travail, Union nationale des étudiants de France), associations, mouvements politiques de gauche et écologistes, ont décidé de créer une coordination nationale afin de mobiliser à hauteur de l'obligation de «4,7 millions de signatures» pour que s'organise le référendum d'initiative partagée à propos d'Aéroports de Paris. Cette coordination prendra de multiples initiatives mutualisées «“bureaux de vote de rue”, (…) conférences-débats publiques, (…) affiches,(…) tracts, (…) argumentaires divers».

    Les signataires entendent bien faire échouer le projet gouvernemental et, plus largement remettre en cause «les privatisations» au nom de la «préservation et le développement des biens communs et pour les services publics (…), la sauvegarde de l’environnement et pour la transition écologique».

    Communiqué collectif Non à la privatisation d'ADP – 6 juillet 2019

    Tags: cession d'actifs publics, Aéroports de Paris
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